Au Bénin, les 42 prévenus, pour la plupart militants ou sympathisants de l’opposition, ont été interpellés et placés sous mandat de dépôt depuis 2021. La CRIET les poursuivait pour « tentative d’atteinte à l’intégrité du territoire, entrave à l’exercice du droit électoral, attroupement interdit ». La cour a prononcé 11 relaxes au bénéfice du doute mais également des peines lourdes.