Les avocats d’Audrey Mondjehi se sont employés, mercredi 3 avril devant la cour d’assises spéciale, à démontrer que le projet de Cherif Chekatt était totalement imprévisible et que leur client ne pouvait par conséquent pas être associé à une entreprise terroriste. Les conseils des autres accusés, poursuivis pour association de malfaiteurs, ont plaidé l’acquittement.