CHRONIQUE - L’humoriste de France Inter Guillaume Meurice revient dans un essai sur la tempête qu’a déclenché sa blague sur Netanyahou «nazi sans prépuce». Il a raison de s’inquiéter d’un recul de la liberté d’expression. Mais cela ne justifie pas qu’un humoriste militant et clivant soit financé par l’argent du contribuable.