Les temps sont durs pour les hommes et leur place sur la planète. Une récente étude, dont on parle beaucoup depuis qu’elle a été rendue publique, précisément le 8 mars, semble bien l’attester : non seulement le barbecue est bien leur affaire mais leurs choix alimentaires, on se doit de le reconnaître, plus carnés que ceux des femmes, comme leurs modes de consommation en général, les mettent loin devant ces dernières en termes de production de CO2.