Mais qu’a donc fait François Bayrou pour que Paris Match lui consacre un portrait en quatre pages ? On apprend dès la première phrase qu’il sait tout, « sur tout, toujours ». On se demande si c’est ironique, mais non. La preuve, il parle de géothermie avec des ingénieurs, puis d’un concours d’équitation, puis des palombes fumées au miel, puis d’Henri IV au point qu’il semble l’avoir connu… En plus de ça, il relit Nietzsche, la classe, et déteste Annie Ernaux, « dont il connaît peu l’œuvre ». C’est plus sûr.