FOCUS. Alors qu'un rapport de la Chambre régionale des Comptes d'Auvergne Rhône-Alpes épingle en premier lieu la gestion des fonds publics du "quoi qu'il en coûte", et notamment du dispositif spécifique déployé à l'égard des stations de ski pour amortir les coûts fixes, le directeur de la société qui exploite les remontées mécaniques de Val Thorens (SETAM), revient avec La Tribune sur le déroulé de cet épisode, et les économies qui ont permis ce bilan moins mauvais que prévu. Il l'affirme sans ambiguïté : "si on nous demande de rembourser, nous le ferons, il n'y a pas de sujet".