ENQUÊTE - Trafics, dépendance, accidents, séquelles neurologiques… Médecins, magistrats et forces de l’ordre s’alarment de la consommation en hausse de ce produit autorisé, à l’usage détourné et prisé parles mineurs. Une lutte difficile, car il n’est pas classé «stupéfiant» mais «substance vénéneuse».