Le rapport Duclert, renforcé plutôt que contredit par le rapport Muse, a ouvert une brèche décisive dans le mur du déni français. Une séquence de deux mois s’est ainsi refermée, séparant désormais un «avant» d’un «après». Ceci ne signifie pas que la recherche ne doive pas se poursuivre. Et encore moins que le négationnisme à l’endroit du génocide des Tutsi rwandais cessera de prospérer.