C’est un scénario qui se répète à chaque repas de fête : après s’être attardés sur l’apéritif, avoir hésité entre le saumon et le foie gras (pour finir par prendre les deux), avoir picoré la dinde ou le chapon farci, arrive le temps du dessert… Les convives se séparent alors en deux camps : les becs sucrés, qui ont su ménager leur appétit, et les autres, qui réclameront une toute-petite-part-de-bûche ou s’illumineront à la vue de douceurs plus fruitées. A vous de choisir, ici, qui gâter.
