Dix jours après la bousculade meurtrière lors d'un match de foot organisé en hommage au président Mamadi Doumbouya, le gouvernement maintient son bilan provisoire de 56 victimes. Un nombre qui n'a pas bougé depuis plus d'une semaine, alors que de leur côté les ONG de défense des droits humains basées dans la région ont alourdi leur propre bilan, qui passe désormais à plus de 150 morts. Le gouvernement a annoncé l'ouverture d'une enquête, en plus de la commission d'enquête annoncée par la présidence.