Par aversion pour les dynamiques des révolutions du “printemps arabe”, Abou Dhabi et dans une moindre mesure Riyad avaient préféré miser sur Bachar El-Assad plutôt que sur l’opposition, même quand Alep était déjà en train de tomber. Ils risquent aujourd’hui d’en payer le prix en termes d’influence en Syrie.