En douze jours, le château de carte syrien s'est effondré : Vladimir Poutine n'a pu que constater le renversement éclair de son allié Bachar al-Assad, un revers géopolitique et militaire pour le maître du Kremlin qui interroge sur l'avenir de la présence russe dans la région. L'analyse de Benoït Delmas, chroniqueur au Point Afrique.