Baisse du budget de l’éducation, suppression de la moitié des ministères, coupes dans les dépenses sociales… Depuis son arrivée à la tête de l’Argentine il y a un an, le libertarien Javier Milei applique une « thérapie de choc » contre l’État. Malgré un coût social élevé, la tourmente populaire n’a pas eu lieu.