Le gouvernement et son allié d’extrême droite avaient dessiné les contours d’un projet de loi contre l’immigration clandestine, incluant une obligation de délation pour certains personnels de la santé, de l’éducation ou de l’administration. S’ils ont reculé face aux protestations, le texte qui se profile prévoit tout de même des prérogatives nettement élargies pour la police.