Au Mozambique, la rencontre entre le président Filipe Nyusi et les candidats à l’élection présidentielle n’a duré que quelques minutes, alors qu'elle devait permettre de trouver une solution à la crise postélectorale. Le principal opposant, Venancio Mondlane, était absent. Depuis les élections générales du 9 octobre, le pays est secoué par une vague de contestation dont la répression a fait une soixantaine de morts, selon la société civile.