Les négociations internationales sur la lutte contre la pollution plastique ne peuvent pas échouer, et doivent inclure des réductions de production et de consommation, a déclaré lundi à l'AFP la cheffe du programme de l'environnement de l'ONU Inger Andersen, à Busan en Corée du sud.
"Ce n'est pas un traité sur la gestion des déchets" qui est négocié (.) et il est "très clair" que les négociateurs doivent traiter "l'ensemble du cycle de vie des plastiques" depuis la production, a affirmé Mme Andersen, alors qu'un groupe de pays producteurs de pétrole (Russie, Iran, Arabie Saoudite.