Les pays développés se sont donc engagés à Bakou à financer davantage les pays vulnérables menacés par le changement climatique à hauteur d'au moins 300 milliards de dollars par an d'ici à 2035. Le précédent objectif fixé en 2009 était d'atteindre 100 milliards par an en 2020. Mais le nouveau montant est loin des attentes et des besoins des pays en développement et certains, ONG ou négociateurs, estiment que ce n'est pas un triplement effectif.