Le gouvernement et l'armée soudanais se sont montrés reconnaissant envers la Russie après son veto apposé lundi 18 novembre au Conseil de sécurité de l'ONU contre un projet de résolution britannique. Le projet de résolution, soutenu par les États-Unis, visait à obtenir un cessez-le-feu au Soudan et à protéger les civils. Mais selon Khartoum, le texte était piégé, car il ouvrait une brèche à une intervention militaire étrangère sans passer par l'ONU.