Les inquiétudes et interrogations s'accroissent concernant l'étudiante iranienne arrêtée après s'être dévêtue en public, samedi 2 novembre, devant l'université Azad de Téhéran, des militants s'inquiétant de son possible transfert dans un hôpital psychiatrique. Mardi 5 novembre, plusieurs dizaines de personnes se sont réunies place du Panthéon, à Paris.