Entre 1987 et 2005, les 500 premiers mètres du littoral espagnol ont été artificialisés, au rythme de deux hectares par jour, soit l’équivalent de deux terrains de football. La disparition de vergers, qui servaient de zone tampon, a contribué à déverser l’équivalent du contenu de 5 400 piscines olympiques supplémentaire dans les rues de Valence et sa banlieue.