Pour Ismaël Koné, le Vélodrome est bien plus qu’un simple stade. En effet, malgré la rivalité historique entre les deux clubs, le jeune international canadien n’a pu cacher son admiration pour cette arène où chaque match est vécu comme une véritable éruption. « C’est vraiment un endroit spécial, tu sens que les supporters sont à fond derrière leur équipe du début à la fin. Ça te prend aux tripes, c’est un véritable volcan », a ajouté Koné, en reprenant l’image souvent utilisée pour décrire l’atmosphère surchauffée du Vélodrome.
L’impact de cette ambiance se fait sentir autant chez les joueurs de l’OM que chez leurs adversaires. Pour certains, comme Koné, elle peut être à la fois un défi et une source de motivation supplémentaire. Le milieu de terrain niçois a toutefois dû se battre non seulement contre l’équipe marseillaise, mais aussi contre cette atmosphère étouffante qui pousse chaque joueur olympien à se transcender.
Le match lui-même n’a pas déçu les attentes, avec une intensité digne de ce derby méditerranéen. Les supporters marseillais, connus pour leur passion sans limite, ont créé un véritable mur de son tout au long de la rencontre, ne cessant de chanter et d’encourager leur équipe, même dans les moments difficiles. « Tu entends à peine ce que te disent tes coéquipiers sur le terrain », a ajouté Koné, illustrant à quel point l’ambiance du Vélodrome peut devenir un facteur déterminant.
