Le Bureau européen des unions de consommateurs attaque le modèle “free-to-play” des jeux les plus populaires pour pratiques trompeuses. Derrière la gratuité d’accès, ils incitent aux achats intégrés en monnaies virtuelles. Selon la plainte, le coût véritable est forcément opaque pour le joueur, encore plus s’il est mineur.