Une semaine après les assassinats de Fouad Chokr, à Beyrouth, et d’Ismaïl Haniyeh, à Téhéran, le pays semble suspendu aux représailles contre Israël annoncées par l’Iran et le mouvement chiite libanais. En attendant, “chaque flash info suscite une petite crise cardiaque”, témoigne, non sans ironie, cette journaliste d’“Ha’Aretz”.