Patrice Talon a pris le 2 août, au lendemain de la fête nationale du Bénin, deux décrets pour gracier plus de 400 détenus de droits communs et surtout 27 militants de l’opposition interpellés et jugés après les violences électorales de 2019 et 2021. Mais deux figures de l'opposition semblent avoir été oubliées. L’exclusion des partis et candidats de l’opposition des élections législatives et présidentielles avaient provoqué des troubles à l'époque.