L’émirat du Qatar, qui offrait l’asile au leader du Hamas tué le 31 juillet à Téhéran et inhumé vendredi 2 août à Doha, dénonce fermement son assassinat. La disparition d’Ismaïl Haniyeh remet en question le statut de médiateur que Doha avait endossé en vue de la libération des otages. Israël ne demande que cela, pour introduire son partenaire émirati dans l’équation.