Sur l’Argentine : « Ce que j’ai identifié ne peut pas être partagé. Ce que je peux vous dire c’est que c’est une très bonne équipe. Ils sont champions du monde, ils ont remporté la Copa America récemment. Il y a de la jeunesse et de l’expérience dans toutes les lignes. Cela va être un match vraiment difficile. Il y a un bon coach aussi. À nous de bien nous préparer pour ce match. On a un entraînement ce jeudi, des séances vidéo. On va regarder ce qu’on va pouvoir faire contre cette équipe. »
Sur Mascherano : « Il y a chez lui cette envie que son équipe reparte de derrière. Je pense que le passage au Barça l’a marqué. On connaît les qualités sud-américaines et leur agressivité dans le bon sens du terme. C’est une équipe qui aime bien avoir la balle en essayant de dominer. Cela fait un moment que je regarde ses résultats avec les jeunes et ils sont souvent bons. »
Sur la pression : « Tout va changer. Une erreur, un match raté et tu rentres chez toi. On sait ce qui nous attend. À chaque perte de balle, à chaque fois que tu ne punis pas l’adversaire devant son but, tu perds et c’est le retour à la maison. Regarder un match comme ça va être très différent. Le jouer aussi. »
Sur les tirs au but : « Tous les jours les joueurs vont frapper des penaltys. Il n’y a pas eu un truc spécifique, du genre mettez vous là un par un et tirez s’il vous plaît. Les mecs le font naturellement en général. Recréer un moment comme celui d’une séance de tirs au but, avec la marche vers le point de penalty, la pression du moment… Et puis comment le joueur a fini ton match, comment il l’a commencé et comment il se sent au moment où il va frapper. Il y a tellement de paramètres que recréer ce moment-là à l’entraînement c’est juste impossible. »
