Dans la nuit du 25 au 26 juillet, plusieurs opérations de sabotage ont fortement perturbé le trafic SNCF, qui devait reprendre normalement lundi 29. Les auteurs restent à ce jour inconnus, mais une enquête a été ouverte pour « atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation ». Un chef d’accusation pour lequel une peine de quinze ans d’emprisonnement est encourue.