Après un long bras-de-fer avec le régulateur, la principale fintech britannique aux ambitions mondiales doit cependant toujours composer avec une licence restrictive, alors qu’elle a de longue date une licence de plein exercice en Europe. Ce sésame va toutefois permettre à Revolut de déployer son offre sur son marché domestique. Les néobanques britanniques s’installent vraiment dans le paysage bancaire.