Au sommet des États, la prise de décision tend à se déporter des salles de réunions vers les boucles de messageries instantanées. Résultat, ceux qui resteraient à la porte dans le monde réel peuvent s’inviter dans les espaces virtuels. Et le copinage, autant que le manque de transparence, devient la règle, déplore l’hebdomadaire britannique “New Statesman”.