Me Martin Vettes le reconnaît : défendre Salah Abdeslam devrait être « le point d’orgue d’une carrière de pénaliste, pas le début ». Lâché par ses avocats en raison de son mutisme, le dernier membre du commando du 13-Novembre encore en vie accorde sa confiance au jeune pénaliste. En tandem avec Olivia Ronen, il a essayé d’obtenir la peine la plus juste pour le terroriste, sans minimiser l’horreur des attentats.