« Tu passes d’un football de possession à un football de transition, avec un pressing très faut et beaucoup d’intensité. Tout ce que tu as travaillé pendant un an, ça tombe à l’eau pour repartir sur un nouveau projet de jeu. (…) C’était usant mentalement parce qu’à l’entraînement, on ne faisait pas forcément les choses qu’on aimait le plus. En match, je sais que pour certains de mes coéquipiers, ce n’était pas non plus le jeu qu’ils préféraient le plus aussi.
Ce n’était pas facile pour tout le monde. On a quand même mis l’aspect professionnel devant. On s’est tous donnés à fond, on a tous donné le maximum pour aller dans le projet de jeu du coach. On a tout donné sur le terrain », assume Guendouzi.