Plus de quatre-vingts personnes comparaissaient le 10 juillet devant une juridiction de sécurité d’État à Abou Dhabi. Déjà en prison, pour la plupart depuis l’époque des “printemps arabes”, lancés en 2011, des dizaines d’entre elles ont été condamnées à des peines supplémentaires. Les organisations de défense des droits humains dénoncent un “déni grossier” de justice.