Initialement prévue pour le 23 juin, cette baignade symbolique avait été reportée en raison des conditions météorologiques défavorables en juin, entraînant une forte pollution bactériologique et un débit élevé du fleuve. L’amélioration de l’état sanitaire de la Seine fin juin a finalement permis de fixer cette date, respectant ainsi les normes de baignade, juste avant les épreuves olympiques programmées dans le fleuve.
Les préparatifs pour les Jeux se poursuivent avec une attention particulière portée à l’état de la Seine, qui accueillera plusieurs épreuves, dont le triathlon, le natation-marathon et le paratriathlon. En collaboration avec la mairie, les autorités surveillent de près le débit du fleuve et mettent en œuvre des mesures pour garantir la sécurité des compétitions malgré les défis posés par les conditions météorologiques et le flux des eaux.
Lors d’une récente rencontre avec les médias, Marc Guillaume, préfet de région, a souligné l’efficacité du plan visant à rendre la Seine baignable jusqu’à un débit de 450 m3/s, conforme aux normes sanitaires en vigueur.