Accompagné d’Éric Richard, un pianiste virtuose et complice apportant volontiers sa subtile touche mélodique, Dominique Babilotte est entré dans la peau de Reggiani, sa gestuelle, ses intonations, ses silences et ses jaillissements.
Invité par l’Aspal, il a ainsi cheminé, apportant quelques traits d’humour, quelques anecdotes évoquant Claude Lemaître, Ascona, Montand, Signoret, les caves de Montmartre et Boris Vian. Ma liberté a emporté le public qui s’est joint à lui, tout comme pour Le barbier de Belleville ou Les loups , magistralement interprétés.
Les rappels aidant, est venu L’italien pour terminer sur Les singes de Jacques Brel, un chanteur qu’il compte bien mettre à son prochain répertoire.
Pour en savoir plus. https://dominiquebabilotte.sitew.fr/Chante_Reggiani.J.htm