Les opposants à la junte malienne interpellés jeudi 20 juin sont accusés de « réunion clandestine » et de vouloir « déstabiliser la transition », seront en principe présentés, lundi 24 juin, devant la justice. Avant ce rendez-vous crucial, les avocats de la défense dénoncent « un dossier vide » et espèrent la libération de leurs clients. Ceux-ci sont désormais dix, le onzième ayant été déjà libéré.