Quand ils commettent des violences graves, des mineurs peuvent être envoyés en détention ou en centre éducatif fermés (CEF). Si les professionnels pointent la difficulté de mener un travail éducatif en prison, les magistrats soulignent qu’ils n’ont parfois pas d’autre choix. Six mois après leur sortie d’un CEF, 86 % des jeunes n’ont pas récidivé.