Une décision intervenue après une période difficile pour l’international algérien, marquée par sa condamnation à 8 mois de prison avec sursis et une amende de 45 000 euros pour provocation à la haine. Face à ces circonstances, Atal ressentait le besoin de quitter les Aiglons.
« Nice ne m’a pas poussé vers la sortie, mais je ne me suis pas senti soutenu. Le discours changeait à chaque fois… J’ai payé cher mon erreur : sportivement, juridiquement et financièrement. Je sentais que j’allais être mis de côté. Ce n’est pas une question d’argent, sinon je serais resté. J’ai besoin de jouer au football. À Adana, on m’a donné de l’amour dès le départ. Donc j’ai envie de les rendre heureux, ça me motive », a exprimé Atal pour So Foot.