La première déclaration publique d’Ousmane Sonko, tard mardi soir, depuis sa condamnation à 2 ans de prison pour « corruption de la jeunesse » le 1er juin. Un jugement qui avait entraîné des violences meurtrières dans le pays, 16 décès selon le bilan officiel, 30 selon le parti Pastef de l’opposant. Son sort reste incertain.