Réunis à Nairobi le 9 février, les chefs d’état-major de la communauté des États de l’Afrique de l’Est (EAC) proposent que le M23 entame son retrait à partir du 28 février pour une durée d’un mois. Il propose aussi une attribution des zones d’influence et d’action aux troupes burundaises, kényanes, sud-soudanaises et ougandaises dans les territoires occupés par le M23. Le gouvernement congolais a réagi pour la première fois à ces propositions.