Sans surprise, le groupe bancaire affiche une perte de près de 1,5 milliard d’euros au second trimestre, compte tenu de la perte comptable de 3,3 milliards d’euros inscrite au titre de la cession de sa filiale bancaire russe. Sans cet élément exceptionnel, les résultats de la banque sont bien meilleurs que prévu par le consensus des analystes alors que le groupe doit boucler, dans les neuf prochains mois, plusieurs chantiers stratégiques.