Dans une lettre ouverte, l’imam belgo-marocain Mohamed Tojgani, dont le permis de séjour a été retiré, réfute les accusations et reproches dont il fait l’objet, notamment de la part de Sûreté de l’État. Celui qui a vécu 40 ans en Belgique dénonce la décision “arbitraire” du Secrétaire d’État Sammy Mahdi et pointe ses “visées électoralistes”. “Je lutte contre le radicalisme sous toutes ses formes”, se défend encore le chef religieux.