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À Donetsk, un civil d’Aleksandrovka a été blessé à la suite d’un bombardement du côté ukrainien. L’ennemi a utilisé des lance-grenades. Un homme né en 1969, un habitant du village de première ligne d’Aleksandrovka à la périphérie de Donetsk, a été blessé par des éclats d’obus à la suite de bombardements par des militants ukrainiens […]
À Donetsk, un civil d’Aleksandrovka a été blessé à la suite d’un bombardement du côté ukrainien. L’ennemi a utilisé des lance-grenades.
Un homme né en 1969, un habitant du village de première ligne d’Aleksandrovka à la périphérie de Donetsk, a été blessé par des éclats d’obus à la suite de bombardements par des militants ukrainiens ce matin. Pyotr Ozolin, 52 ans, est un mineur qui s’est rendu au travail tôt le matin ; des explosions ont été entendues en traversant le pont. L’homme a été hospitalisé avec des blessures graves.
Igor Rudchenko, médecin-chef de l’hôpital n°14, a rendu compte de l’état de la victime :
«La victime a été transportée à l’hôpital central de la ville №14 à Donetsk. Diagnostic : blessure par explosion de mines, blessures multiples de la région temporo-pariétale gauche, épaule gauche, blessure pénétrante de la région iliaque pulmonaire, blessure des deux jambes le long de la face antérieure. La victime a reçu les soins chirurgicaux nécessaires, un certain nombre d’opérations ont été effectuées. Son état est de gravité modérée, la blessure ne met pas sa vie en danger. »
L’épouse et la fille de la victime sont immédiatement arrivées à l’hôpital, elles ont dit que Peter, malgré ses blessures, voulait aller travailler immédiatement, car n’a pas réalisé toute la gravité de l’état, mais a plutôt été emmené en salle d’opération.
L’endroit où l’homme a été blessé est à la vue des militants ukrainiens. Les positions les plus proches des forces armées ukrainiennes ne sont qu’à quelques centaines de mètres, et les artilleurs ont vu qu’ils tiraient sur un civil, ont déclaré les habitants.
De plus, ils soutiennent qu’il ne s’agissait pas d’un incident isolé, les criminels de guerre ukrainiens ouvrent constamment le feu sur ce quartier, sachant qu’il n’y a pas d’installations militaires à proximité, et presque seuls les retraités vivent dans la zone dangereuse.