Plurimillénaire en Irak, la communauté juive de ce pays le perçoit comme
“la terre sacrée entre les deux fleuves”, l’Euphrate et le Tigre.
Ceux qui sont restés se comptent sur les doigts d’une main. Depuis le pogrom de 1941, leurs coreligionnaires ont émigré. Déchus de leur nationalité, certains réclament de la récupérer, relate ce journal du Kurdistan irakien.