Isa a les yeux qui se brouillent. « Je suis dégoûtée pour les familles qui sont à la rue. » Cette militante se souvient avoir fêté le Noël des exilés, l’an dernier, à la Maison du peuple, rue du Chapeau-Rouge, dans le centre-ville de Nantes. Elle espérait y réinstaller des exilés et des sans-abri...