Près de la moitié des plantes américaines n’ont certainement jamais été photographiées et recensées à l’état sauvage, et ne figurent pas sur les réseaux de sciences participatives. Ces bases de données contribuent pourtant significativement à l’amélioration des connaissances, mais elles sont encore trop limitées. Des lacunes ayant des conséquences sur la conservation des espèces rares.