Destiino – Destiino (Lumière Noire Records)
Nouvelle facette de l’univers du producteur et DJ Yuksek, capable de s’ébattre dans le revival disco comme dans les bandes-son de films, Destiino, en forme de concept album mélancolique et expérimental, est tombé dans les oreilles de Chloé, qui a décidé de le sortir sur son label Lumière Noire.
Par Laurent Malet
Notre critique est à retrouver dans le numéro des Inrockuptibles du 21 avril prochain.
London Grammar – Californian Soil (Because/Caroline)
Californian Soil offre des sonorités plus chaleureuses que par le passé. Si London Grammar persiste sur certaines chansons à s’exprimer à travers une synthpop solennelle, d’une sophistication un brin désincarnée, le groupe livre toute son humanité et sa sensualité quand il utilise à bon escient des instruments à cordes, des claviers moelleux et des guitares ténébreuses. C’est le cas du magnifique morceau éponyme et de toute la seconde moitié du disque, avec notamment All My Love, Talking, ou encore America, envoûtante conclusion à fleur de peau.
Par Noémie Lecoq
Notre critique est à retrouver dans le numéro des Inrockuptibles du 21 avril prochain.
Cory Hanson – Pale Horse Rider (Drag City)
Une folk psychédélique aux accents baroques, portée par des compositions à la minutieuse sobriété et une production éthérée du meilleur effet. Cinq ans après un convaincant premier effort, le deuxième long-format de Cory Hanson ne trompe pas.
Par Briac Julliand
Andy Stott – Never The Right Time (Modern Love)
Alors qu’on craindrait de le voir commencer à tourner en rond, après dix ans à performer en circuit fermé, Andy Stott prouve de nouveau que l’homogénéité de son travail est une force. En se réinventant avec assez de subtilité pour faire conserver à ce nouveau disque la cohérence caractéristique de ses précédents travaux, le musicien délivre un nouveau sans-faute.
Par Briac Julliand
Zoo Baby – Zoo Baby (Duprince/Believe)
Ex-membre de la formation pop-rock montréalaise Gazoline, Xavier Dufour-Thériault aka Zoo Baby la joue aujourd’hui solo avec un premier album hanté par ses idoles, de Prince à Julian Casablancas.
Par François Moreau