Les vitrines du bar le Poliakov, rue Petite-Biesse sur l’île de Nantes, sont barrées de vieux journaux. À l’intérieur, des pots de peinture ou d’enduit, deux grandes poubelles, des câbles électriques qui pendent, bref, le grand fouillis. Pas le genre de lieu qui donne envie d’y passer une soirée...