Le Parlement a adopté jeudi 15 avril la proposition de loi sur les violences sexuelles sur mineurs, quatre mois après son dépôt par les sénateurs centristes. Elle s’inscrit dans un contexte de libération de la parole sur le sujet. En témoigne le fracas, en France, de l’affaire Olivier Duhamel, le politologue qui a reconnu avoir agressé sexuellement son beau-fils. Le texte se veut une réponse forte à ce problème de société mais certaines dispositions restent critiquées.