Les gestes s’enchaînent à une cadence infernale. Philippe de Bie attrape deux petits pâtons, les pose dans son gaufrier. Pendant ce temps, il enlève les bords grâce à un emporte-pièce des deux gaufres précédentes et les coupe en deux. Étale prestement le fourrage. Les amateurs jugeront en goûtant: nous, on a adoré! On aurait pu aussi vous p...