Ce mercredi, les enfants de la Chapelle d’Armentières et de Lys-lez-Lannoy n’ont pas eu leur entraînement de foot. À chéreng ou Lambersart, si. Les rugbymans en herbe de l’Olympique marcquois ont pu tâter du ballon ovale. Les hockeyeurs de Cambrai ont aussi pu s’entraîner. De telles différences s’expliquent par des règles différemment interprétées (et interprétables), comme vo...